Expert Humidité-Ventilation

EXPERT en HUMIDITÉ et VENTILATION dans le bâtiment :

L’humidité est un signe important d’un logement malade.

Nous intervenons pour des diagnostics hygrothermique.

Pour réussir un projet BBC en rénovation, il est nécessaire d’évaluer le risque d humidité dans un mur ancien. En effet, si le mur présente avant rénovation des désordres d’humidité, il faut en déterminer la cause exacte, la traiter et remettre en état avant d’envisager toute intervention. Un traitement est nécessaire avant toute intervention pour évacuer l’eau contenue dans les parois et le sol et éviter qu’une accumulation d’humidité ne se reproduise.

voir page 26 Extrait du guide “Comment réussir un projet BBC en rénovation” de EFFINERGIE
En effet, l’action de l’humidité peut entrainer des :
modifications des propriétés mécaniques, modifications de la conductivité thermique des matériaux, variations dimensionnelles des matériaux, développement de moisissures, etc..

Egalement, le CREBA (centre de ressources pour la réhabilitation  responsable du bâti ancien)  a mis en place un outil  d’aide a la décision  pour une réhabilitation responsable, adapté aux enjeux patrimoniaux, techniques et énergétiques.

Cet outil est disponible pour tout prescripteurs technique, voir www.rehabilitation-bati-ancien.fr

Avant toute intervention sur les murs, que ce soit restauration, correction thermique (intérieur/extérieur), isolation ITE ou ITI ou autre..et pour palier aux problématiques techniques, nous effectuons un diagnostic hygrothermique (étude de l’ensemble de propriétés relatives aux transferts de chaleur et aux transferts d’humidité dans les matériaux) pour déterminer les problèmes liés a l’humidité et pouvoir les traiter.

En complément d’un diagnostic immobilier pour l’acquisition d’un bien, nous évaluons l’état du bâti existant, du sol au plafond, l’humidité dans les murs et dans l’air, et nous éliminons cette humidité par un traitement d’assèchement naturel, autonome, efficace, pérenne, et respectueux de l’environnement.

phénomènes de l’eau

dégradations de l’enduit par les sels

DIAGNOSTIC HYGROTHERMIQUE, études des solutions technique,TRAITEMENT, ASSÈCHEMENT et CONTRÔLE du bâtiment.

  • Détection, traitement des origines et des conséquences de l’humidité: recherche des fuites, des infiltrations, des problèmes de condensation (points de rosées) ou de ventilation, résurgence, rejaillissement, source, effet de mèche ou de remontées capillaires naturelles ou osmotiques.
  • Diagnostic et établissement du rapport technique d’humidité avec un cahier des charges client sur mesure, comprenant une étude adaptée des meilleures solutions retenus. (du traitement de l’humidité interne de la structure et/ou du renouvellement de l’air ambiant)

Contre les remontées capillaires ou humidité ascensionnelle dit « remontées osmotique »: Mise en oeuvre d’un traitement définitif des parois avec le procédé le mieux adapté:

  • solution naturelle grâce a la mise en place d’une végétalisation sur les pieds de murs (plus d’informations au bas de cette page)
  • mécanique (mises en place de membranes de protections étanches),
  • physique (drainage)
  • chimique par assécheurs intrusif (injection de produit hydrofuge type résine ou crême (silicates, époxy, acrylamides, silicones..))
  • procédé bionaturel, qui peut être: injection de mortier chaux hydraulique naturelle, des assécheurs type siphons atmosphérique (procédé knapen passif ou actif), des procédés d’électro-osmose ou électrophorèse dit « potentiel électrocinétique » (par conducteur électrique dans le mur…) ou des inverseurs polarité géomagnétique…Ces derniers sont des procédés non intrusif, passif ou non passif ( sans ou avec électricité), c’est a dire installation « d’une antenne » de type correcteur de transfert d’informations grâce au phénomène de (bio)résonnance géomagnétique ou électromagnétique-inverseur de polarité, et cela suivant le protocole de pose du fabricant.

Nous contacter ou Voir notre catalogue des ressources

  • Mise en place d’un traitement efficace de l’air intérieur: par une ventilation de type double flux centralisé (ou décentralisé, avec/sans récupérateur de chaleur, dite évolutive) , ventilation mécanique controlée (VMC) simple flux avec ou sans hygrostat, aérateurs ou extracteurs d’air, ventilation positive par surpression autorégulée (VMI ou VPH), ventilation naturelle hybride basse pression ou ventilation a débit variable VAV selon l’occupation dans les bâtiments collectifs, ventilation autonome aérosolaire , aérateurs d’air neuf de fenêtres, location ou pose de deshumidificateur, deshydrateur, solutions de climatisation, etc…
  • Remise du rapport de pose avec la mise en service, enregistrement de la garantie constructeur.

Contrat « SATISFACTION 100% GARANTIE« . Nous effectuons un service veille incluant une visite de contrôle d’assèchement de l’édifice.

voir notre rubrique tarifs expertises

  • Préconisations pour la rénovation des murs, traitement des sels et stabilisation des enduits extérieurs ou intérieurs (terre crue, chaux hydraulique ou chaux aérienne, argiles et bio-polymères …). Après l’installation du procédé assécheur , il est indispensable de traiter le salpêtre. les sels minéraux solubles (nitrates, sulfates, chlorures…) qui sont stockés dans les maçonneries depuis des années.
    Ces sels doivent être impérativement neutralisés. et rendus insolubles, afin d’éviter le farinage. La pierre doit être reminéralisée. Pour ce faire, nous devons procéder à un décrépissage complet des enduits salpêtrés, puis à un décroutage de tous les joints.
    S’applique ensuite le traitement de neutralisation des sels, par l’application de plusieurs compresses de dessalement (il s’agit d une pâte de dessalement qui va dissoudre les sels cristallisés à la surface des murs ainsi que dans la matière poreuse. La compresse capte et absorbe l’ensemble des sels présents dans les murs)  et/ou de couches d’enduit d’assainissement. Nous consulter pour plus d informations.

Dans certains cas d’expertises, nous intégrons (quelques exemples):

-Une demande de prise en charge d’une recherche de fuite par la société d’assurance de l’ouvrage avec l’un de nos partenaires

-Une analyse mycologique et une étude de traitement du bois d’oeuvre contre les champignons lignivores (exemple mérule) et/ou insectes a larves xylophages (termites,capricornes..)

-Un contrôle QAI (qualité d’air intérieur), qui est déja obligatoire dans certains ERP (Ets recevant du public)

-Une étude approfondie de la structure et des solutions de traitement des maladies de la pierre, comme des différentes altérations, les dégradations du calcin (peau), les desquamations et alvéolisations , le creusement des surfaces, fissures, décompression des sols, et cela par un cabinet d’expertise technique et scientifique des ouvrages bâtis, pour la protection et sauvegarde du patrimoine.

Une liste de quelques références régionales sur notre secteur 31-12-81-82-46-32 est disponible (sur demande) :
musées, églises, cloîtres, mairies, collectivités,bâtiments tertiaire, bureaux, hôtels ou résidences particulières, maisons de ville, de village, caves, granges, anciennes demeures, tout ouvrages et édifices classés et/ou sensible, parc de gestionnaires de l’habitat, etc..

Visite d’une de nos références d’assèchement sur toulouse : l’hotel du vieux raisin

Quelques un de nos clients et prescripteurs:

Différents outils et appareils de mesure, contrôle et d’analyse sont utilisés pour nos expertises:

Diagnostic et montage d’un rapport technique d’humidité a l’aide d’outils de mesures fiables :

  • Humidimêtres de contact: de type capacitif ou technologie à micro-ondes.
  • Thermohygromêtre, T°C et % H20 ambiante ou de surface
  • Pyromêtre: évaluation des points de rosée
  • Géomagnétomêtre: mesure du CMT (champ magnétique terrestre), localisation des zones géologique perturbées (sensible aux infiltrations ascendantes de vapeur d’eau dans les matériaux)
  • Révélateurs de sels minéraux: taux de nitrate de potassium et de sulfates
  • Trackeur de fuites d’eau du réseau EP/EF/EC ( réseau ECS ou de chauffage)
  • Mesure précise du taux d’humidite par un échantillonnage de prélèvements (matériaux humide dans les murs + ampoule de carbone de calcium = réaction chimique,dégagement d’acéthylène) a l’aide d’une bombe a carbure a lecture directe (flacon à pression étalonné et manomètre mécanique) conforme a la directive européenne 837-2…

    Appareils électronique de mesures d’humidité d’un mur

Les remontées capillaires: ses aspects et ses conséquences

Différents aspects de l’humidité par remontées capillaires:

PLUS ON FAIT TRANSPIRER LE MUR PLUS LE MUR S’HUMIDIFIE
Le mur se comporte comme la mèche d’une lampe à huile: plus on fait brûler l’huile et plus on attire de l’huile du réservoir. De la même façon, plus on fait transpirer un mur humide plus l’eau s’évapore et pour chaque litre d’eau qui s’évapore du mur, on attire un autre litre d’eau depuis les fondations (et de l’eau dans le terrain il y en a une infinité). Donc le mur se comporte comme un alternateur qui fonctionne à travers l’évaporation de l’eau du mur humide. Le mur humide, qui est en contact avec l’air des milieux internes et externes, fait s’évaporer l’eau de l’enduit, laquelle attire l’eau des fondations.

LES PRINCIPAUX DEGATS DES MURS NE SONT PAS PROVOQUES PAR L’EAU
effectivement, l’eau des murs est seulement responsable, au grand maximum, de la moisissure noire. Les vrais dommages des murs, comme la peinture qui moisit et s’écaille, l’enduit qui s’effrite et les briques qui se désagrègent sont créés par les SELS MINERAUX présents dans le terrain. De ces sels minéraux, le plus connu est le
Salpêtre ou nitrate de potassium . Ces sels, présents soit dans le terrain soit dans les matériaux utilisés pour construire le mur (briques et mortier), sont fondus dans l’eau et sont poussés à l’intérieur des briques par le mouvement capillaire de l’eau. Quand ils arrivent sur l’enduit, l’eau s’évapore tandis que les sels restent et se cristallisent. Le changement de phase de l’eau liquide en eau solide (glaçe) augmente de volume.Il en est de même des sels minéraux, qui en se cristallisant, augmentent leur volume de 12 à 14 fois et génèrent, ainsi, de fortes poussées pouvant aller jusqu’à 2000 Kg par centimètre carré. Ce sont ces pressions qui font moisir la peinture de construction et font éclater les enduits: les sels, avec le temps, obstruent complètement les enduits, en les rendant pratiquement imperméables et les empêchant donc de transpirer.

LES MURS HUMIDES PEUVENT CONTENIR DES MILLIERS DE LITRES D’EAU
Les briques sont très poreuses, en fait elles sont comme des éponges. C’est la raison pour laquelle elles absorbent l’eau. 30% de l’espace des briques est composé par l’air. Donc un mètre cube de briques peut arriver à contenir, à saturation, jusqu’à 300 litres d’eau. Une maison atteinte par l’humidité par remontées capillaires peut donc avoir dans ses murs des milliers de litres d’eau. Dans le cas du traitement des murs humides par injections chimiques, méthode encore tristement conseillée par beaucoup de techniciens, où va finir toute cette eau? Nulle part : Tous ces milliers de litres d’eau continueront à créer des problèmes aux gens qui y habitent. Une maçonnerie humide, peut mettre  7-8 ans pour s’assécher complètement. Pendant toutes ces années, les maçonneries continueront à être humides, à dissiper la chaleur à l’extérieur et à faire des coûts et des dépenses importantes de chauffage.

1- Conséquences pour la structure du bâtiment

Les remontées capillaires ont pour conséquence de rendre humide les murs et entraine l’apparition de certains symptômes typiques des remontées capillaires :

  • Apparition du salpêtre (nitrate de potassium) se présentant sous la forme d’un dépôt blanchâtre nocif pour les murs (décollement de plâtre et d’enduit, réduction en poudre (pulvérulence) des pierres, etc.).
  • Papier peint qui se décolle à la base des murs, peinture qui s’écaille ou encore revêtement qui se cloque.
  • Effritement et décollement des plâtres et enduits.
  • Revêtement de sol pourrit.
  • Moisissures.
  • Apparition de champignons comme le mérule (champignon détruisant les structures en bois).
  • Corrosion des métaux.
  • Dégradation de crépi, auréoles, tâches et cloques.

Cela aboutit à un accroissement progressif de leur perméabilité avec pour conséquences, l’accélération et l’amplification des dégradations et un affaiblissement de leur résistance et de leur pouvoir porteur.

2– Conséquences pour le chauffage du bâtiment

Ces remontées capillaires aboutissent à une perte importante de l’isolation thermique ayant notamment pour conséquences des frais accrus de chauffage.

On sait qu’une maison est humide est plus difficile à chauffer qu’une maison « sèche » car un mur humide conduit plus facilement le froid. De plus, on sait également que l’air sec demande moins d’énergie, que de l’air humide pour mettre une pièce à une température désirée.

Pour chauffer un air humide, il faut jusqu’ a 30% d’énergie supplémentaire par rapport à un air sec.

Par exemple :

Pour mettre à 20°C un logement d’environ 80 m2 (soit 200 m3 d’air), il faut dépenser par heure : 2800 watts pour un air à 45% d’humidité relative ou  3800 watts pour un air à 90% d’humidité relative. Soit 30% de puissance et de consommation supplémentaire .

3– Conséquences pour la santé des occupants

Un taux d’humidité trop important dans une habitation peut avoir des conséquences sur la santé des individus.

Ceci en particulier sur le système respiratoire avec des atteintes plus ou moins graves à type de toux, rhinite, bronchite, asthme, alvéolite et pneumonie d’hypersensibilité.

Une sensation d’étouffement peut également survenir.

=> Toutes ces conséquences résultent de problèmes d’humidité par remontées capillaires. Cette ambiance malsaine rend le bâtiment inhabitable ou invendable. Il est urgent d’assécher les zones, sols et parois humides.

VIDÉO « 10 expériences sur l’eau »

Nous Proposons a notre clientèle professionnelle

Un guide technique, un support powerpoint et 2 Vidéos de formations professionnelles sur les remontées capillaires qui sont disponibles. Nous consulter

  • Vidéo 1: « La coupure de capillarité dans le bâtiment »
  • Vidéo 2: « Exemples et études de cas de remontées capillaires »
  • Un programme de présentation technique sur l’humidité dans les bâtiments

Auprès des professionnels et prescripteurs du bâtiment, architectes, bureaux d’études, centres de formation, organismes, services technique, diagnostiqueurs immobiliers, etc.. (nous consulter)

Présentation technique sur l’HUMIDITE DANS LES BATIMENTS

de traitement d’humidité et de ventilation pour l’habitat domestique et bâtiment industriel a un tarif très compétitif avec notre partenaire National TKL
( voir lien de téléchargement catalogue tarifs ci-dessous)

NOUS PROPOSONS A LA LOCATION hebdomadaire:

-déshumidification par appareil a condensation ou a adsorption
-climatisation refroidis par air ou par eau
-humidification d’air
-ventilation
-purification d’air
-chauffage a air chaud, direct, indirect, électrique
-groupes électrogènes
-destructeurs d’odeurs
-assèchements d’isolants
-thermographie

Secteur d’intervention location:

31 Haute-Garonne, 81 Tarn, 12 Aveyron, 82 Tarn et Garonne, 46 Lot, 32 Gers.

Lien du site pour le téléchargement direct du catalogue

et des tarifs-Location a la journée/ a la semaine, départ de la centrale de TKL
http://info.trotec.com/tkl-flipviewer-kataloge/fr/tkl-kat-wm-fr/TKL-KAT-WM-FR.html

Nous proposons (en option) un service d’assistance complet :

  • Contrôle de la livraison sur le site, installation et mise en service du matériel avec nos
    techniciens frigoriste et/ou chauffagiste.
  • Au terme de la location reconditionnement du matériel et mise en place de l’enlèvement et préparation du retour du matériel a la centrale TKL.

Pour tout devis, nous consulter

Voir notre catalogue des ressources

L’ASTUCE BATIBIOENERGIE : Végétaliser la façade pour assécher le bâtiment

Une végétation peut aider à assécher les murs humides ! Sans pouvoir remplacer un système moderne et approprié d’assèchement, la végétation peut du moins y contribuer… Les murs des vieux bâtiments par exemple étaient à peu près secs tant que la vigne ou les espaliers y croissaient : pour chaque kilo de matière végétale sèche il faut 500 litres d’eau – une contribution à l’assèchement des sols… À prendre en compte lors de la rénovation d’un bâtiment !

PLUS D’INFOS SUR NOTRE PAGE FACADE VEGETALE